Pourquoi les plombages peuvent-ils inquiéter aujourd’hui ?
Le mercure est un toxique (neurotoxique, nephrotoxique, immunologique, perturbateur endocrinien)
De plus, le mercure pose un problème écologique : Le mercure dans la nature contamine les cours d’eau et les animaux (poissons) MINAMATA 1930 : L’usine relargue du mercure dans la mer contaminant les poissons dont se nourrissent les riverains : apparition de maux étranges comme des tremblements, fatigue, douleurs, trouble du comportement et pour les nouveaux nés : malformations congénitales, déficiences intellectuelles etc…
OCTOBRE 2013 : Conférences de l’ONU à MINAMATA. 144 pays s’engagent à réduire leurs émissions et rejets de mercure.
De plus les déchets liés aux amalgames dentaires sont traités comme déchets toxiques, les cabinets dentaire doivent être équipés de récupérateurs d’amalgames afin qu’ils soient traités.
Enfin les amalgames posent un problème esthétique, ils ont un couleur métallique et rendent les dents « noire » qui parfois sont assez visible.
Les amalgames étant un alliage de plusieurs métaux, il se crée parfois dans la bouche est grâce à la salive un phénomène d’eléctrogalvanisme, c’est à dire une « pile électrique » qui pose un problème d’inconfort majeur pour le patient.
Quels sont les risques liés au mercure ?
Pour commencer, il existe des allergies au mercure.
Le mercure pose problème car c’est un métal volatil à température ambiante, c’est a dire qu’il dégage des vapeurs de mercure. De plus des « morceaux » d’amalgames peuvent être ingérer par le patient (par grave éliminé par les selles).
Les risques sont :
NEUROLOGIQUE : Il a été prouvé que le mercure a forte dose s’accumule dans le cerveau provoquant des lésion notamment dans les zone en lien avec la mémoire.
NEPHROTOXIQUE : Altérant la fonction rénale.
TOXIQUE POUR LE SYSTEME IMMUNITAIRE
POUR LES FEMMES ENCEINTE : Risque des malformations de l’enfant, déficience intellectuelle car le mercure franchit la barrière placentaire. Présent aussi dans le lait maternel.
PERTUBATEUR ENDOCRINIEN
Cela dit, le mercure se retrouve en faible dose dans le poisson et les produits de la mer, dans l’eau et donc dans les amalgames dentaires sous des formes différentes et à des doses très faibles.
Aucune études ne prouve réellement que le Mercure dentaire serait responsable à lui seul des pathologies mise en cause.
Il est à noter que les risque plus important de relargage de mercure se fait au moment de la pose et de la dépose de l’amalgame. Le risque est donc très élevé chez les personnels des cabinets dentaires.